Culte de Noël avec les enfants
23 décembre 2018, Couvet 17h30
Enfants et jeunes participants à la pièce : Melina, Childèric, Yovinn, Floriane, Leanne, Cynthia et Manon
Narratrices : Pauline et Emilie
Lectrice : Olivia
Jeunes musiciens : Emmanuelle, Pauline, Emilie, Samuel et Marc
A l’orgue : Jean-Samuel Bucher
Ecriture de la pièce et préparation des enfants : Brigitte Rufener
Pasteur : Patrick Schlüter
Pour télécharger les textes du culte en pdf, cliquer ici
Accueil :
Bienvenue à vous les enfants et les parents, bienvenue à vous paroissiens du Val-de-Travers ou de plus loin.
A Noël, Jésus vient dans le monde, tel qu’il est avec ses beautés et ses sommets, avec ses malheurs et ses abîmes.
Ce soir, Dieu nous accueille comme nous sommes, avec tout ce qu’il y a en nous, de joie et d’espoir, mais aussi de tristesse et de questions.
Soyons les bienvenus et reposons-nous dans sa présence !
Orgue
Prière de louange par les enfants
Dieu, tu nous envoies Jésus, un enfant et un Roi.
Nous te disons merci pour l’enfant.
Il est aussi notre Roi.
Mais pas un roi qui gagne par la force et par la guerre.
Car Tu agis autrement…
Tu fais de Jésus le Roi de l’Amour, le prince de la paix.
Notre frère dans la vie.
Sois loué, notre Dieu!
Amen.
Chant d’assemblée « Aube nouvelle » (Alléluia 31-14)
Dialogue avant la pièce des enfants :
Enfant 1:
Dis, il va venir quand Dieu pour sauver son peuple ?
Quand je vois le monde, je me demande où est passé Noël !
Enfant 2 :
Ecoute ce que dit ce chant d’Haïti :
Enfant 3 :
Quand tous sont prêts pour la fête, c’est Noël !
Enfant 2 :
Quand les gens se donnent la main pour faire la paix, c’est Noël !
Enfant 3 :
Quand on accueille l’étranger,
quand on s’aide les uns les autres à éviter le mal, à faire le bien,
c’est Noël !
Enfant 2 :
Noël,
c’est essuyer les larmes ;
c’est partager ce qu’on a avec les autres ;
c’est adoucir la misère d’un malheureux.
Enfant 1 :
Sur la terre c’est Noël
chaque fois qu’on montre un peu d’amour,
que des cœurs sont heureux.
Alors Dieu redescend du ciel pour apporter la lumière.
Chant des enfants « C’est Noël tous les jours »
Pièce jouée par les enfants : « Enfant migrant, Noël autrement » écrite par Brigitte Rufener
Tableau 1
Narrateur :
A l’école, il est 8h30, la cloche retentit, mais quelques enfants retardataires jouent encore sur leur portable, écouteurs sur les oreilles.
Ils sont dans leur petit monde à eux, dans leur bulle, déconnectés de la réalité.
Soudain le maître s’adresse à eux :
Maître :
Eh, les retardataires, la leçon commence, rangez vos portables …
Ce matin nous allons accueillir un nouvel élève, il s’appelle Samir.
A côté de qui va-t-il s’asseoir ?
Y a-t-il un ou une volontaire ?
Narrateur :
Long moment de silence ….
Le maître réitère sa proposition …
Maître :
Surtout ne vous pressez pas …
On ne va quand même pas y passer la journée …
Narrateur :
Marie lève timidement la main, car elle n’aime pas être le centre de l’attention.
Marie :
Il peut venir s’installer à côté de moi
Narrateur :
Ainsi fut fait.
Les présentations faites, le maître explique aux enfants le parcours de Samir mais de façon très succincte.
Musique : piano
Tableau 2
Narrateur :
Dans la cour de l’école, des enfants discutent …
Enfant 1 :
– Eh ! T’as vu le nouveau ? ses habits sont vieillots
C’est pas croyable …
Enfant 2 :
– Ouai et il parle vraiment mal le français, on le comprend quasiment pas.
Enfant 3 :
– Ben ouai c’est normal puisqu’il vient d’un pays étranger.
Narrateur :
L’enfant en question s’approche
Samir :
– Peux venir vers vous ?
Enfant 1 :
– Non, désolé, on discutait entre nous …
Narrateur :
L’enfant s’en va et s’approche d’un nouveau groupe qui joue.
Samir :
– Peux jouer avec vous ?
Enfant 4 :
– Désolé mais nous sommes au complet.
Narrateur :
De groupe en groupe l’enfant est rejeté.
Dépité, il baisse la tête et s’en va seul s’asseoir sur un banc, dans le préau.
Marie s’approche.
Marie :
– Je peux m’asseoir …
Narrateur :
D’un hochement de tête, Samir fait oui.
Marie :
– Moi c’est Marie, je suis contente de partager mon pupitre avec toi.
Samir :
– Merci ! Moi c’est Samir.
Marie :
– Alors tu viens de loin ?
Samir :
– Très très loin, pays « boum, boum »
Marie :
– Tu veux dire que tu viens d’un pays en guerre ?
Samir :
– Oui !
Marie :
– Et tes parents sont venus avec toi ?
Samir :
– Non, non, papa, mama pas partis. Bateau trop plein.
Marie :
– Tu veux dire que tu es ici tout seul ?
Samir :
– Oui
Narrateur :
Il se met à pleurer.
Marie :
– Et je suppose que tu vis au foyer du village ?
Narrateur :
L’enfant approuva.
Marie :
– Pauvre Samir, comme je te comprends, c’est très dur pour toi d’être tout seul ici, si loin de ta famille….
Narrateur :
Elle le prend dans ses bras.
Certains enfants ayant vu la scène ne peuvent s’empêcher d’exprimer un air moqueur
Enfant 1 :
– Ah Marie ! Comme toujours, elle joue le Saint-Bernard de l’école, il faut toujours qu’elle s’occupe des autres.
Chant d’assemblée « D’un arbre séculaire » (Alléluia 32-16)
Tableau 3
Narrateur (pendant la lecture, les enfants miment) :
Voilà déjà quelques semaines que Samir va à l’école, mais il peine toujours à s’intégrer.
Pour ses camarades, tout est prétexte à se moquer.
Mais tant de choses sont nouvelles et inhabituelles pour Samir
A l’école, il arrive souvent que les enfants travaillent sur une sorte d’appareil à touches avec un écran TV.
Pour Samir ça semble compliqué, il n’a jamais connu l’ordinateur.
Dans son pays en conflit, depuis sa tendre enfance, le PC n’était certainement pas un achat primordial ! Et ces boîtes sans fils dans lesquelles on communique sans se voir et qu’on appelle portables, Samir, lui n’en n’avait jamais eu.
Toute cette technologie déstabilise l’enfant.
Tout se passe par écran interposé, tout est virtuel…
Et que devient l’être humain dans tout ça ? Samir ne trouve pas de réponses à ses questions.
Alors que, dans son pays ravagé par la guerre et malgré la peur du lendemain, Samir avait beaucoup de copains. Ils jouaient souvent ensemble pour oublier leur quotidien. Ils n’avaient rien, mais ensemble ils se sentaient forts et surtout ils se soutenaient les uns les autres dans l’adversité.
Alors qu’ici, et bien que la paix règne, Samir a la drôle d’impression qu’il n’a plus d’unité. Chacun vit pour soi, sans se préoccuper des autres.
Il se sent de plus en plus exclu et rejeté.
Il n’y a vraiment que Marie qui est gentille avec lui.
Musique : flûte traversière
Tableau 4
Narrateur :
Un mercredi après-midi, Marie lui propose de découvrir la région. Ils font le tour du village puis vont se balader dans la forêt.
Marie voulait montrer à Samir une cabane de bûcherons qu’elle affectionne particulièrement.
En fait, c’est là qu’elle vient quand elle veut se ressourcer. C’est aussi là qu’elle vient lorsqu’elle veut parler à Jésus.
Marie :
– Connais-tu l’histoire de Jésus ?
Samir :
– Oui, moi connaître Dieu et Jésus, avec papa et mama nous aller à l’église écouter parole.
Mais aujourd’hui Jésus abandonné moi, car être seul ici … Moi avoir beaucoup prié pour retrouver famille, mais moi pas être entendu…
Marie :
– Non, je ne crois pas que tu sois abandonné de qui que ce soit. Jésus entend toujours les prières qu’on lui fait. Bien sûr, elles ne sont pas toujours exaucées comme on le voudrait. Mais je suis sûre qu’il a entendu ta requête.
– Dieu sait ce dont nous avons besoin avant même que nous le lui demandons.
– J’ai une idée : On reviendra ici prier ensemble.
Et la cabane sera notre église, t’es d’accord ?
Samir :
– Oh oui ! Merci Marie, toi être vraiment « super gentille » avec moi.
– Toi être « première amie à moi ».
Narrateur :
Malheureusement les enfants doivent abréger leur conversation car la nuit tombe et il faut rentrer au village.
Chant d’assemblée « O peuple fidèle » (Alléluia 32-22)
Tableau 5
Narrateur :
On approche des fêtes de fin d’année et les bricolages de Noël vont bon train.
Samir connaît bien cette fête car chez lui, on la célébrait aussi.
Malgré le couvre-feu, les violences extérieures, sa famille a toujours honoré la naissance de Jésus, en toute simplicité, parfois devant un repas frugal mais dans leurs cœurs, Noël restait la fête de la lumière, de l’amitié et de l’amour partagés
Oui, Samir se souvient …
Le maître dit aux élèves :
Maître :
– Demain est le dernier jour d’école avant Noël. Nous nous retrouverons ici dans l’après-midi et nous piqueniquerons ensemble.
Et que chacun apporte un petit cadeau pour son voisin.
Narrateur :
Samir frémit, il se dit :
Samir
– Moi rien pouvoir apporter, moi avoir rien à donner !
Musique : piano
Tableau 6
Narrateur :
Le lendemain après-midi, le maître et les enfants se retrouvent en classe pour la fête de Noël.
Soudain Marie s’écrie.
Marie :
– Monsieur, Samir n’est pas là !
Narrateur :
Le maître téléphone au foyer et demande si par hasard Samir serait malade, mais on lui répond que non et qu’il est bien parti pour l’école cet après-midi.
Le temps passe, Samir n’est toujours pas arrivé.
Marie s’inquiète :
Marie :
– Il faut le retrouver, on ne peut pas faire la fête sans lui !
Narrateur :
Pour les autres l’absence de Samir ne les trouble pas plus que ça.
Selon eux et de toute façon il n’a jamais fait d’efforts pour s’intégrer, alors …
Marie :
– Vous êtes injustes et vous l’accusez à tort. C’est vous qui n’avez jamais essayé de l’intégrer, ni à l’école, ni à vos jeux de la récréation.
Samir ne pouvait pas trouver sa place puisque personne n’a fait d’effort pour qu’il la trouve.
C’est pas parce qu’il n’a pas d’ordinateur, de portable, de fringues à la mode, et qu’il ne parle pas couramment le français qu’il est différent !!!
Mettez-vous une seconde à sa place …
Nous on n’a pas vécu la guerre, les privations.
Nous on vit avec nos parents … On a un toit sur la tête … on mange, on boit, à satiété.
En fait, on a tout ce qu’on veut !
Samir n’aura peut-être jamais ce qu’on a … Et ses parents lui manquent énormément.
Mais on peut lui apporter autre chose : Notre amitié, de la fraternité, de la tolérance …
Et vous, vous pourriez vivre sans amis ?
Narrateur :
Ce fut l’électrochoc. Grâce à Marie, les enfants réalisent à quel point ils sont restés indifférents au vécu de Samir.
Tous ensemble ils se mettent à sa recherche.
Tout à coup le visage de Marie s’illumine.
Marie :
– Je crois savoir où il est allé se cacher.
Narrateur :
C’est ainsi qu’ils arrivèrent aux abords de la cabane de bûcherons dans les bois.
Enfant 3 :
– Oh regardez ! On dirait l’étoile du berger. Elle est venue se poser sur le toit de la cabane, comme à la naissance de Jésus …
– Je suis sûre que c’est un signe.
Tous :
– Samir où es-tu ?
Viens, nous voulons fêter Noël avec toi.
Narrateur :
Samir sort de sa cachette, tout ébahi de voir la classe entière venue à sa recherche.
Il était venu à la cabane pour prier et demander à Dieu de se trouver des amis…
Chant des enfants « Allume une étoile »
Tableau 7
Enfant 1 :
– On s’est mal conduit, on voudrait s’excuser …
Enfant 2 :
– Je t’ai apporté des friandises.
Enfant 3 :
– Pour me faire pardonner, je t’offre mon ballon de foot et j’espère qu’on jouera ensemble.
Enfant 4 :
– Je t’apprendrai à utiliser l’ordinateur.
Enfant 1 :
– Moi je veux t’aider à faire tes devoirs.
Enfant 3 :
– A la récré …. je jouerai avec toi.
Enfant 4 :
– A la gym, tu viendras dans mon équipe … tu veux bien ?
Marie :
– Samir, tu as entendu ?
– Ils veulent tous t’offrir quelque chose…
– Et toi que peux-tu leur apporter en retour ?
Samir :
– Moi , pas avoir de cadeaux à donner. Moi rien avoir. ( Il montre ses poches vides.)
– Moi juste pouvoir vous donner « AMITIE » à vous tous.
Enfant 4 :
– Je ne savais pas que l’amitié pouvait être un cadeau.
Narrateur :
Oui, quel étrange cadeau que celui-là…
Et pourtant tous les enfants acceptèrent ce présent plutôt original et inattendu.
C’est ainsi que Samir petit expatrié vécut son premier Noël en sol étranger à la lumière d’une prière exaucée.
Ce fut un Noël différent basé sur la fraternité et l’amitié retrouvées.
FIN
Chant des enfants « Laisserons-nous à notre table » (Alléluia 46-09) repris par l’assemblée
Lecture biblique : Luc 2, 1-14
Musique : flûte et violon « Les anges dans nos campagnes »
Lecture biblique : Luc 2, 15-20
Musique : flûte
Message
C’est Noël !
Et à Noël, nous admirons la crèche avec l’enfant, Marie et Joseph, le bœuf et l’âne. Nous sommes émerveillés par le chant des anges qui annoncent la bonne nouvelle aux bergers.
Nous oublions parfois, que s’ils sont rassemblés dans une crèche, c’est que cette histoire avait très mal commencé : il n’y avait pas de place pour eux dans la maison où logeaient les voyageurs.
Pas de place, comme beaucoup de personnes dans notre monde ne trouvent pas leur place :
- les migrants qu’ils arrivent chez nous ou non
- les exclus de toute sorte par le travail, l’âge, la maladie, le handicap, la différence et tant d’autres choses
- nous-mêmes aussi, quand nous nous sentons étranger aux autres et parfois aussi à nous-mêmes
En Jésus, Dieu est devenu l’un de nous, un migrant, un exclu, un petit. Il est devenu un humain, fragile comme un enfant.
Et c’est ainsi qu’il est venu nous sauver !
Non pas depuis l’extérieur, avec des solutions qui s’imposent.
Il est venu nous sauver depuis l’intérieur-même de notre humanité.
A Noël, c’est par une naissance que cela arrive. Dieu se fait tout petit pour prendre sa place dans le monde sans s’imposer. Ainsi, dans cet enfant qui nait, il nous donne notre place, pour que nous la prenions avec les autres, et non plus contre eux.
Parce que Dieu vienne à nous sans arme, il nous invite aussi à laisser tomber toutes nos armes, tous nos masques. Il nous permet de nous accueillir nous-mêmes et d’accueillir l’autre.
Dieu vient à nous en Jésus. Il nait dans le monde comme un petit enfant. C’est le cadeau de Noël.
Mais, pour qu’il naisse, il a fallu que Marie et Joseph se mettent en route. Il a fallu une crèche. Il a fallu des bergers pour l’entourer et aller annoncer la nouvelle. Il a fallu que des hommes et des femmes lui donnent sa place dans leurs vies.
Aujourd’hui, pour que le Christ naisse, il a besoin aussi que nous lui donnions sa place au cœur-même de nos vies, au cœur-même de nos joies, de nos tristesses, au cœur-même de nos forces et de nos faiblesses.
Donner sa place à Jésus-Christ, c’est recevoir la place qu’il nous donne comme enfant de son Père.
Donner sa place à Jésus-Christ, c’est donner sa place à l’autre parce qu’il est aussi est un enfant du même Père.
A Noël, c’est par une naissance que cela arrive. Puisse le Christ naître et prendre sa place dans nos cœurs afin que nous puissions reconnaître dans chaque être humain, un frère, une sœur.
Oui, comme le disait la pièce des enfants, quel étrange cadeau que l’amitié. Celle de Dieu pour nous et celle que nous pouvons offrir aux autres
Amen.
Orgue
Annonces de 2 gestes : carte à transmettre et offrande pour Terre Nouvelle
Pour prolonger Noël au-delà des murs de cette église, nous vous proposons maintenant 2 gestes :
Le premier, c’est une carte de Noël qui va être distribuée par les enfants. Vous y trouverez une photo de l’équipe et les paroles du chant haïtien qui a été lu au début du culte. Prenez une carte pour vous-même en souvenir du culte, mais prenez aussi une carte suplémentaire que vous pourrez aller donner à quelqu’un parce qu’il vit un temps difficile, à quelqu’un que vous connaissez moins pour créer l’occasion d’une rencontre ou simplement parce que vous pensez que cela lui fera plaisir.
Le 2èmegeste, c’est l’offrande de ce soir. Elle est destinée à soutenir un projet du DM Echange et Mission (n°148.7141). Le projet soutenu a été choisi avec les enfants de la pièce. Il vise à faciliter l’accès des enfants à l’éducation à Madagascar, notamment en soutenant la formation des enseignants et la remise en état de salles de classe.
Merci pour le partage qui peut se poursuivre à travers ces 2 gestes !
Musique : flûte et violon « We Wish You A Merry Christmas »
Intercession par les 7 enfants, puis notre Père
Seigneur notre Dieu,
Merci d’être venu comme un enfant parmi nous.
Tu nous donnes confiance en toi.
Apprends-nous à être simples comme les bergers,
à oser venir vers toi tels que nous sommes.
Aide-nous à voir que dans l’étranger venu parmi nous,
c’est ton visage qui se montre.
Merci pour tous tes messagers:
pour nos parents, nos monitrices ou moniteurs,
les pasteurs, tous ceux qui nous apportent un message de toi.
Que nous soyons nous aussi messagers
pour les malades qui sont à l’hôpital,
ou à la maison, pour ceux qui ont mal.
Que nous soyons nous aussi messagers
pour ceux qui vivent seuls, parce qu’ils ont perdu leur conjoint, ou leur famille.
Merci pour Jésus,
Tu es venu parmi nous,
tu t’es montré,
tu as aimé
tu nous as pardonné pour nous changer.
Merci, Seigneur.
Notre Père qui es aux cieux
que ton nom soit sanctifié
que ton règne vienne
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel
Donne nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du mal
car c’est à Toi qu’appartiennent
le règne, la puissance et la gloire
pour les siècles des siècles.
Amen.
Chant d’assemblée « Voici Noël, ô douce nuit » (Alléluia 32-30)
Annonces et remerciements :
Les enfants de la pièce recevront, en plus du cornet de Noël, le petit livre « Aux 4 coins du monde : contes d’ici et d’ailleurs » édité par le DM Echange et Mission
Bénédiction
Béni sois-tu Dieu notre Père !
Donne-nous maintenant, d’accueillir la douceur de Noël
et permets qu’en nos visages, il y ait assez de lumière pour ceux qui sont dans l’ombre !
Permets qu’en nos cœurs, il y ait assez de paix pour ceux qui sont dans la révolte.
Permets qu’au milieu de nous, il y ait assez de tendresse pour ceux qui sont dans la solitude et le deuil !
Chers enfants, chers frères et sœurs, soyez bénis
Au nom de Jésus, ce Fils de lumière,
né parmi nous pour qu’il fasse clair dans nos vies.
Orgue