Texte lu au culte dimanche 3 novembre 2019 – fête de la Réformation
Accueillez la personne qui est faible dans la foi, sans critiquer ses opinions.
Par exemple, l’un croit pouvoir manger de tout, tandis que l’autre, qui est faible dans la foi, ne mange que des légumes. Que celui qui mange de tout ne méprise pas celui qui ne mange pas de viande, et que celui qui ne mange pas de viande ne juge pas celui qui mange de tout, car Dieu l’a accueilli lui aussi.
Qui es-tu pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il demeure ferme dans son service ou qu’il tombe, cela regarde son maître. Et il demeurera ferme, car le Seigneur a le pouvoir de le soutenir.
Pour une personne, certains jours ont plus d’importance que d’autres, tandis que pour une autre ils sont tous pareils. Que chacun soit bien convaincu de ce qu’il pense. Celui qui attribue de l’importance à un jour particulier le fait pour honorer le Seigneur ; celui qui mange de tout le fait également pour honorer le Seigneur, car il remercie Dieu pour son repas. La personne qui ne mange pas de tout le fait pour honorer le Seigneur et elle aussi remercie Dieu. En effet, aucun de nous ne vit pour soi-même et aucun ne meurt pour soi-même.
Si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur, et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Ainsi, soit que nous vivions, soit que nous mourions, nous appartenons au Seigneur. Car le Christ est mort et il est revenu à la vie pour être le Seigneur des morts et des vivants.
Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère ? Et toi, pourquoi méprises-tu ta sœur ? Nous aurons tous à nous présenter devant Dieu pour être jugés par lui.
Car l’Écriture déclare :
« Moi, le Seigneur vivant, je l’affirme :
tous les humains se mettront à genoux devant moi,
et tous reconnaîtront Dieu publiquement. »
Ainsi, chacun de nous rendra compte à Dieu pour ses décisions.
Romains 14,1-12 – Nouvelle français courant