La mort fait partie de la vie… mais pour qui reste, elle est d’abord une relation coupée. Devant le cercueil, notre connaissance s’arrête.
Une espérance peut être chuchotée. Elle vient d’ailleurs, nous la transmettons: depuis Pâques, la mort n’a plus le dernier mot. Nous croyons que chaque personne avec son histoire unique est connue et aimée de Dieu. C’est ce qui lui donne sa valeur. Un service funèbre dit cette dimension unique de chacun/e aux yeux de Dieu. Il rassemble celles et ceux qui veulent prendre congé de la personne défunte et la remettre « à Dieu ».
Un service funèbre, comment ça se passe ?
La paroisse organise un système tournant de présence des ministres pour les services funèbres.
Les pompes funèbres avec lesquelles vous êtes en contact en ont les coordonnées.
Quand un lien particulier existe entre la personne défunte et un ministre, les ministres acceptent, dans la mesure de leurs possibilités, de présider le service funèbre hors semaine de présence.
Le service est préparé et personnalisé lors d’une rencontre entre le/la ministre et la famille du/de la défunt/e.
Un service funèbre, ça coûte combien ?
Le service du/de la ministre ne vous coûte rien.
C’est votre contribution ecclésiastique régulière – tout ou partie – qui permet à l’Eglise de rétribuer ses ministres et d’offrir ainsi gratuitement ce service. D’autres ont payé pour que vous puissiez en bénéficier aujourd’hui. Votre contribution ecclésiastique permet à ceux qui vous suivent d’en bénéficier également.
Une offrande destinée à la paroisse est recueillie pendant ou à la sortie du service funèbre. Vous serez en outre invité/e à faire un don libre à l’Eglise cantonale.