Dans le cadre des festivités commémorant les 500 ans de la Réformation, la ville de Wittenberg a accueilli récemment les délégués des 68 cités européennes de la Réforme. Christian Miaz, président du Conseil synodal de l’EREN, et Elisabeth Reichen, diacre et animatrice, ont participé à cette rencontre. De leur bref séjour dans la ville où Luther a affiché ses thèses, les deux Neuchâtelois ont ramené un riche échantillonnage de souvenirs photographiques. Petite sélection non exhaustive.
« La Bible », clin d’œil à la traduction réalisée par Martin Luther: un lieu pour prendre de la hauteur et avoir une nouvelle perspective de la ville.
Christian Miaz, président du Conseil synodal de l’EREN, sous le portique marquant l’appartenance de Neuchâtel aux 68 villes labellisées « Cités européennes de la Réforme ».
Le camion de la Réforme au terminus de son périple européen.
Une pelote de ficelle pour retracer le parcours du camion de la Réforme à travers l’Europe.
L’espace intitulé « Labyrinthe de la vie », symbole des méandres dans une existence.
La Schlosskirche a accueilli les délégués lors du culte final.
La porte de la Schlosskirche: Luther y aurait affiché ses 95 thèses contre le commerce des indulgences.
Le pavillon suisse, baptisé « prophezey ». Un espace pour réécrire la Bible avec une ancienne presse, comme à l’époque de Zwingli.
« Naufrage », avec sa représentation de barques de migrants: un des éléments de l’espace nommé « Paix, justice et sauvegarde de la création ».
Toujours à l’enseigne de « Paix, justice et sauvegarde de la création », deux cabanons invitant à construire ensemble la paix dans le monde.
Autre station de l’exposition, la « Maison de la diaconie ». Ses innombrables portes symbolisent les diverses formes d’activités diaconales.
Ultime étape du parcours thématique, la « Maison pour tous », espace dédié aux trois religions monothéistes. Un lieu où l’on apprendra à vivre tous ensemble en s’inspirant des paroles prononcées à Berlin par Martin Luther King: «Construire une maison d’espérance avec des pierres du désespoir.»
La cour de la maison du peintre et graveur Lucas Cranach, ami intime de Luther.
L’ancien Hôtel de ville avec, au premier plan, la statue de Martin Luther.
La place du Marché et l’église Sainte-Marie où prêchait Luther.
L’intérieur de l’église Saint-Marie avec un retable de Cranach.
L’entrée de l’Université de Wittenberg, fondée en 1502. Luther y a enseigné dès 1512.
La maison de Philippe Melanchthon. Le réformateur y habita dès 1539.
La façade extérieure et l’entrée de la maison de Luther. Lors de sa construction pour les moines augustiniens, en 1504, cette demeure avait été surnommée « le monastère noir ».
La maison de Luther (bis): le passage qui, depuis la rue, donne accès à la cour intérieure.
La maison de Luther (ter): statue de Katharina de Bora, épouse de Luther, dans la cour intérieure.
La façade de la maison de Luther depuis la cour intérieure.
La porte d’entrée de Katharina de Bora avec, sur les côtés, des sièges.